CULTURE
« Azerbaïdjan: vers l’univers de contes sur le tapis magique » une exposition de tapis qui s’est ouverte à Londres
Londres, 17 novembre (AZERTAC). Le 15 novembre une exposition des tapis azerbaїdjanais sous le nom « Azerbaïdjan: vers l’univers de contes sur un tapis volant » s’est ouverte à Londres sous l’égide de la Fondation Heydar Alyev (FHA), l’ambassade d’Azerbaїdjan en Grande Bretagne et le magazine “Bakou”.
Leyla Alyéva, chef de la représentation russe de la FHA à participé à l’ouverture de l’exposition.
L’ambassadeur de l’Azerbaïdjan en Grande Bretagne Fakhreddin Gourbanov a remercié Mehriban Aliyeva, première dame de l’Azerbaïdjan, présidente de la FHA, ambassadrice bien-intentionnée de l’UNESCO, et Leyla Alyeva, chef de la représentation russe de la FHA, rédactrice du magazine “Bakou” pour le soutien apporté à l’organisation de l’exposition des tapis azerbaïdjanais à Londres et a informé l’assistance sur l’art de tissage de tapis étant l’une des branches les plus anciennes de la culture azerbaïdjanaise.
Lord Fraiser, coprésident de la Société Grande Bretagne -Azerbaїdjan, qui a hautement apprécié l’organisation de l’exposition, a noté que ces dernières années on constate un développement très sensible en Azerbaїdjan.
Leyla Alyéva, chef de la représentation russe de la FHA, prenant parole à l’ouverture de l’exposition a souligné à son tour l’importance de l’exposition du point de vue d’initiation à l’univers de merveilleux contes anciens de l’Azerbaїdjan, contrée de mille et une beautés.
Elle a parlé de l’histoire du tissage de tapis pratiqué par le peuple azerbaїdjanais depuis l’ancienneté, de la situation du pays sur le légendaire Chemin de Soie, elle a souligné que ce chemin n’était pas seulement celui de commerce, c’était à la fois un large couloir pour l’échange de valeurs et de cultures.
Elle a exprimé la certitude que l’exposition permettra de s’initier très étroitement à la culture azerbaїdjanaise
Le ministre britanique de la Culture Ed Vaisey a parlé des rapports culturels entre la Grande Bretagne et l’Azerbaïdjan et a exprimé l’assurance que l’exposition servirait davantage à l’affermissement des relations entre les deux pays.
Dans le cadre de l’exposition on a fait la présentation de la version anglaise de “l’Azerbaїdjan”, édition de luxe. Les photos faisant partie du livre donnent une impression assez large sur l’histoire, la culture, la nature, les régions de l’Azerbaїdjan.
Ensuite, les participants ont visité l’exposition comportant les tapis azerbaїdjanais. Selon la situation géographique, la résolution de couleur et les particularités techniques, toutes les directions de l’école azerbaїdjanaise de tissage de tapis étaient présentées à l’exposition. Les tapis de Gouba, d’Abchéron, de Chirvan, de Guendja, de Gazakh, de Garabagh (ce qu’on appelle aujourd’hui Karabakh), et autres échantillons des écoles azerbaїdjanaises de tissage de tapis ont vivement éveillé l’intérêt des visiteurs. Les modèles de tapis de Garabagh ayant leur place à l’exposition, ont prouvé une fois de plus que Garabagh fut toujours terre incontestable de l’Azerbaїdjan.
La musique azerbaїdjanaise qui s’est faite entendre à l’exposition, a été accueillie, elle aussi, avec beaucoup d’intérêt. Les interprétations de Gullu Mouradova et de ses collègues musicens, la gagnante du concours télévisé de mougham, projet organisé et réalisé avec le soutien de la FHA et la Télévision Nationale d’Azerbaїdjan, entraînaient les visiteurs dans un univers mistérieux de mougham.
L’exposition va durer jusqu’au 21 novembre.
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