POLITIQUE
Le développement de l’agriculture est une des priorités de la politique économique de l’Etat
Bakou, 17 janvier (AZERTAC). Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev a signé un décret sur les mesures supplémentaires pour améliorer le fonctionnement du marché des denrées alimentaires et agricoles.
Il est indiqué dans le décret que le développement de l’agriculture est une des priorités de la politique économique de l’Etat. Qu’à cette fin, un certain nombre de concessions ont été prévues pour les fermiers, et les producteurs agricoles ont été exemptés des impôts sauf la taxe foncière. Egalement, 40 manats par acre sont alloués pour le carburant et l’huile de moteur pour la culture des terres arables, en plus 40 manats de subvention aux producteurs de blé et de riz. De bonnes conditions ont été créées pour les fermiers et les entreprises afin qu’ils puissent avoir du crédit concessionnel, des semences, des engrais, des machines et des animaux reproducteurs.
Dans ce décret est écrit que l’assurance de la prdocutivité de l’agriculture, l’amélioration de la compétitivité des produits locaux, l’organisation et la garantie du soutien efficace de l’Etat aux agriculteurs pour assurer la sécurité alimentaire sont les priorités de la politique économique de l’Etat. Il y a encore des travaux à faire dans le domaine de l’élimination des obstacles existantes pendant la livraison des produits aux consommateurs, de la prévention de l’augmentation artificiellement des prix sur le marché alimentaire, de la construction des terminaux et des entrepôts spécialisés pour le traitement et la conservation des marchandises, de la construction des infrastructures de transport appropriées et de prendre des mesures urgentes pour élargir le réseau de magasins alimentaires.
Le décret fixe des mesures supplémentaires afin d’accroître l’exportation des produits agricoles, de protéger les intérêts des producteurs et des consommateurs, d’assurer le fonctionnement efficace de la base alimentaire. Les instructions appropriées ont été destinées au ministère de l’agriculture, au ministère de l’économie et de l’industrie, au Conseil des ministres et aux autres organismes gouvernementaux concernés afin de mettre en œuvre ces mesures.