POLITIQUE
La coopération entre l’AZERTAC et la Yonhap vise à élargir l’échange d’information VIDEO
Bakou, 23 décembre, AZERTAC
La coopération entre l’AZERTAC, Agence de presse nationale d’Azerbaïdjan, et l’Agence de presse coréenne Yonhap vise à élargir l’échange d’information. Cette tendance est réciproquement soutenue par toutes les deux parties, a déclaré Kim Chang-gyu, nouvel ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République de Corée en Azerbaïdjan, lors d’une rencontre avec le directeur général de l’AZERTAC Aslan Aslanov.
Le directeur général de l’AZERTAC a donné à l’ambassadeur des informations détaillées sur l’économie, la culture, le potentiel touristique de l’Azerbaïdjan et a parlé des relations entre les deux pays. Il a dit que la coopération entre l’AZERTAC et l’agence Yonhap s’était établie au format bilatéral ainsi qu’au sein de l’Organisation des agences de presse d’Asie-Pacifique (OANA) et se développait conformément aux intérêts des deux parties.
Le directeur général a mis en valeur l’excellente organisation de la 39e réunion du Comité exécutif de l’OANA, accueillie par l’agence de presse Yonhap les 16 et 17 novembre, ajoutant que laccord de coopération sur l’échange d’information entre les agences AZERTAC et Yonhap avait été renouvelé en marge de la réunion. Cet accord constituera une contribution considérable soit pour faire connaître les deux pays, soit pour développer les relations entre les deux agences, a-t-il estimé.
La reconnaissance des deux agences comme source d’information fiable, surtout l’expérience obtenue en matière de multimédia et de vidéo font naître de bonnes opportunités pour la promotion des deux pays, a estimé l’ambassadeur de Corée Kim Chang-gyu. Il a souligné que le potentiel existant offrait des conditions favorables pour faire connaître les deux pays et a dit qu’il apporterait toute l’aide possible à l’élargissement de la coopération.
Le diplomate coréen a porté à l’attention que les langues azerbaïdjanaise et coréenne appartenaient à la famille des langues altaïques, marquant que le gouvernement coréen et lui-même personnellement étaient intéressés par le développement des relations entre les peuples.