POLITIQUE
Les droits des minorités nationales sont systématiquement protégés en Azerbaïdjan
Strasbourg, 9 avril (AZERTAC). Les droits des minorités nationales sont systématiquement protégés en Azerbaïdjan, a déclaré Sevindj Fataliyeva, membre de la délégation azerbaïdjanaise à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) lors des discussions autour d’un rapport «La situation et les droits des minorités nationales en Europe» à la session printanière de cette structure. Le sort des minorités nationales dépend du niveau de la démocratie et de la bonne volonté de chaque pays. Il est vrai que la majorité des minorités ethniques souffrent de la discrimination raciale dans un certain nombre de pays» a précisé la députée azerbaïdjanaise.
«Nous sommes très fiers que les droits des groupes ethniques sont protégés et assurés par l’Etat en Azerbaïdjan. L’Azerbaïdjan est un pays multinational et multi-religieux où est pratiquée une politique nationale basée sur la tolérance et la coexistence harmonieuse de différents groupes ethniques et religieux. La législation garantit l’égalité des droits et des libertés de tous les citoyens azerbaïdjanais sans distinction d’origine, de nationalité, de religion et de langue» a expliqué S. Fataliyeva.
«La présence active des minorités nationales dans la vie sociale, ainsi qu’aux mesures prises au niveau national est une parfaite illustration du respect mutuel en Azerbaïdjan. Les représentants de différentes minorités nationales travaillent aux organismes gouvernementaux de l’Azerbaïdjan. Les personnes appartenant à des minorités nationales sont représentées au parlement et aux organismes étatiques. Les églises orthodoxes et catholiques, ainsi que les synagogues sont construites et reconstruites par l’Etat en Azerbaïdjan.
Il faut créer une atmosphère favorable aux groupes ethniques pour qu’ils puissent participer dans la vie politique du pays. Il est nécessaire d’éliminer les limites pour que chacun puisse suivre sa religion, sa culture. Il devrait y avoir une compréhension mutuelle entre l'État et ses citoyens», a-t-elle conclu.