SOCIETE
La session suivante du Forum des médias azerbaïdjano-ouzbek porte sur l’alphabétisation médiatique de la population des deux pays
Tachkent, 24 septembre, AZERTAC
La session suivante du Forum des médias azerbaïdjano-ouzbek a été consacrée au sujet « Le rôle des organisations médiatiques publics et non-publics dans l’amélioration de l’alphabétisation médiatique de la population des deux pays ».
La session a été modérée par Mourad Dadachov, directeur général du Centre médiatique « Khazar ».
Tohir Umarov, chef du département de développement des technologies numériques pour l'éducation aux médias de l'Agence d'information et de communication de masse auprès de l’Administration présidentielle de la République d’Ouzbékistan, a fait savoir que les médias publics avaient des ressources et des plateformes nécessaires. Il a souligné que des projets éducatifs modernes, des débats publics, des formations pour journalistes et des programmes d'échange d'expériences nous aideront à atteindre notre objectif principal : créer une société correctement informée.
Jahongir Azimov, directeur de la Fondation pour le soutien et le développement des médias nationaux de l’Ouzbékistan, a évoqué le problème de l'augmentation du nombre de personnes non qualifiées dans le domaine du journalisme, mettant en valeur l’importance de lutter contre ce problème.
Dans son discours, Vugar Aliyev, président du Conseil d’administration de l’Agence de presse nationale azerbaïdjanaise (AZERTAC), a dit que l’alphabétisation médiatique était nécessaire non seulement pour les journalistes qui travaillent avec diverses sources d'information, mais aussi pour les gens ordinaires, consommateurs de contenus médiatiques, pour distinguer la vérité du mensonge et la vraie information de la fausse. Il a affirmé que les consommateurs se tournent de plus en plus vers les informations de l’AZERTAC pour s’assurer de la véracité des informations.
Fouad Husseynaliyev, directeur de l’agence d’information Report, a dit que son agence organisait de nombreuses formations afin d'accroître les compétences professionnelles des journalistes.