l’Agence de Presse Nationale d’Azerbaïdjan

DOCUMENTS OFFICIELS

D E C L A R A T I O N
de la Commission Electorale Centrale de la République d’Azerbaïdjan relative à la déclaration de l’état de constatations et des conclusions préliminaires de l’OSCE/BIDDH sur les élections présidentielles du 9 octobre 2013 en Azerbaïdjan

La Commission électorale centrale de la République d’Azerbaïdjan considère le rapport préliminaire de l’OSCE/BIDDH sur les élections présidentielles du 9 octobre 2013 en Azerbaïdjan comme une insulte à la volonté des électeurs azerbaidjanais et ne l’accepte pas. 

Cette évaluation du 10 octobre de l’OSCE/BIDDH sur les élections présidentielles en Azerbaïdjan se diffère nettement de celle des 20 autres organisations internationales qui avaient observées ces élections et en prenant un tel rapport l’OSCE/BIDDH se conduit dans l’auto-isolement.

Dans le pays, les projets de grande envergure ont été mis en oeuvre, la sensibilisation du public sur le processus électoral sur une base régulière pour tous les candidats a été réalisée, la condition égale pour tous les candidats à été créée par la Commission électorale centrale (CEC), les activités de la Commission électorale ont été ouvertes pour la communauté locale et internationale afin d’assurer un déroulement libre, équitable et démocratique des élections présidentielles du 9 octobre 2013 en Azerbaïdjan. Les caméras installées dans 1000 bureaux de vote couvrant tout le pays, sauf des territoires occupés, ont permis de suivre le jour de vote afin de garantir la transparence, ainsi qu’une condition a été établie pour que les 1400 observateurs internationaux et 52 000 locaux, en plus les représentants des mass médias, puissent suivre pour toute la journée le processus de vote.

Les représentants des grandes organisations internationales telles que l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, du Parlement européen, de l’OSCE et de l’Union Européenne, de l’AP de la CEI, de l’AP des pays turcophones, ainsi que de la France, de l’Italie, de la Grande Bretagne, de la Russie, de la Turquie, de diverses organisations européennes et américaines, ont observé les élections et ont déclaré que les élections se sont déroulées d’une manière libre et équitable, et qu’ils n’ont pas observé un cas quiconque qui pourrait éclipser les résultats des élections. Ayant observé quelques bureaux de vote, Michel Voisin, coordinateur spécial de l'OSCE pour 280 observateurs de courte durée, a protesté lors de la conférence de presse contre le rapport de l’organisation qu’il représentait et a déclaré que les élections se sont déroulées d’une manière libre, transparente et équitable et le vainqueur incontestable a été élu.

L’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe et le Parlement européen ont déclaré dans leur rapport sur les résultats des élections présidentielles du 10 octobre en Azerbaïdjan que les élections présidentielles en Azerbaïdjan se sont déroulées d’une manière libre, transparente et équitable.

Mais traditionnellement une seule institution -OSCE/BIDDH a pris une position partiale et non objective envers les élections en Azerbaïdjan. Le rapport préliminaire de la mission d’observation de cette organisation est fondamentalement contraire aux positions de nombreux observateurs qui s’appuyaient sur les observations réelles et les faits. Ainsi, ce rapport continue la position partiale du rapport intérimaire qui déformait clairement la vérité.

Fermant ses yeux sur les violations flagrantes de la loi lors des élections dans les pays voisins, y compris l’attentat contre la vie humaine, OSCE/BIDDH continue à faire des remarques futiles qui ne correspond pas à la vérité, contre l’Azerbaïdjan.

Avec son caractère d’éclipser le processus d’élection, ce rapport ne tient pas compte du principe de l’équilibre et a critiqué vivement les moments très appréciés par des missions du BIDDH lors des élections précédentes. En évaluant de différentes étapes du processus électoral, dans la plupart des cas, les faits ne sont pas justifiés, ou la législation du pays, y compris les faits et le Code électoral, est clairement déformée, ou le rapport s’appuie aux hypothèses. Bien que de nombreuses informations concernant ces évènements ont été communiquées par la CEC aux représentants de la mission, tout cela a été ostensiblement ignoré.

Egalement, la mission n’a pas attaché d’importance au problème du pays découlant de la présence d’un million de réfugiés et de personnes déplacées expulsés des territoires azerbaïdjanais occupés (20%) par l’Arménie depuis 20 ans. Ainsi, la liste de faits préconçus devient plus large.

Bien que la mission d’évaluation en élaborant ce rapport n’a pas jugé nécessaire de réfléchir sur les conséquences négatives d’un tel rapport qui est contraire de son image et activités, ce qui dans de nombreux de cas fait face aux mécontentement de ces représentants honnêtes, il n’a pas pu briser la confiance et la loyauté du peule azerbaïdjanais aux principes et valeurs internationaux.

Compte tenu de tout cela, la CEC réclame de publier, sur son site internet, les points d’observation des représentants de l’OSCE/BIDDH sur les bureaux de vote et le présenter à la CEC, et fait part à cette organisation que seulement après cela les mesures pertinentes peuvent être prises sur les suggestions faites maintenant et à l’avenir.

La Commission électorale centrale déclare à nouveau qu’il attache une importance particulière à la coopération mutuellement constructive avec les organisations internationales, et exprime son intention d’étendre et de développer ses relations avec les organisations qui, dans leur activités, sont guidés par les critères démocratiques et souligne qu’il est contraint de demander au gouvernement d’Azerbaïdjan à réexaminer la question de la poursuite de la coopération avec l’OSCE/BIDDH qui prend une position partiale envers ce pays.

 

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