POLITIQUE
La 2e Conférence internationale portant sur le thème «La campagne «Justice pour Khodjaly» : la coopération et la solidarité internationales dans la qualification politique et juridique» s’est tenue à Bakou
Bakou, 21 février (AZERTAC). La 2e Conférence internationale portant sur le thème «La campagne «Justice pour Khodjaly» : la coopération et la solidarité internationales dans la qualification politique et juridique», organisée conjointement par le Pouvoir exécutif de l’arrondissement de Garadagh et le Parti du Nouvel Azerbaïdjan (YAP), s’est tenue le 21 février à Bakou.
Les fonctionnaires d’Etat et de gouvernement, les députés du Milli Medjlis, les invités provenant de Turquie, d’Ukraine, d’Israël, de Biélorussie et d’autres pays, les représentants de la communauté ont été présents à la conférence.
Les participants de la conférence ont d’abord déposé des fleurs au pied du monument du leader national Heydar Aliyev, érigé dans l’arrondissement.
Ensuite, ils ont visité l’exposition relative au génocide de Khodjaly dans le hall du Centre Heydar Aliyev, fonctionnant au bourg de Leukbatan.
Puis, un film sur Khodjaly a été projeté.
La conférence a été ouverte par Suleyman Mikayilov, chef du pouvoir exécutif de l’arrondissement de Garadagh.
Le chef du département des affaires sociales et politiques de l’Administration présidentielle de la République d’Azerbaïdjan, Ali Hassanov, est intervenu lors de la conférence. Il a dit que le génocide de Khodjaly constituait la page la plus tragique de la politique que les Arméniens menaient contre les Azerbaïdjanais depuis plus de 200 ans.
En 1998, par le décret du président Heydar Aliyev le 31 mars a été déclaré Journée du génocide des Azerbaïdjanais, a dit Ali Hassanov. «Mais le plus horribles des génocides perpétrés contre le peuple azerbaïdjanais est celui du 26 février 1992, commis à Khodjaly. Aujourd’hui, le génocide de Khodjaly est reconnu par différents pays du monde, des organisations internationales réputées, près de 20 Etats des Etats-Unis. Seule la reconnaissance du génocide de Khodjaly par l’Organisation de coopération islamique signifie que 56 pays membres de l’organisation considèrent cette tragédie comme un génocide.
Le haut fonctionnaire de l’Administration présidentielle a fait savoir que le gouvernement azerbaïdjanais avait sa politique unique concernant cet événement. L’essence de cette politique consiste à ce que les réalités relatives au génocide de Khodjaly doivent être portées à la connaissance de la communauté internationale pour que de pareilles tragédies ne se reproduisent plus et que ses auteurs soient gravés dans la mémoire de l’humanité.
Après les interventions, la conférence a poursuivi son travail en panels.