POLITIQUE
Le conflit arméno – azerbaïdjanais du Haut Karabagh et les possibilités de son règlement ont été discutés à Washington
Bakou, 17 octobre (AZERTAC). Un symposium intitulé « Les voies de la situation désespérée : l’évaluation de la situation bloquante au processus de paix du Haut Karabagh » s’est tenu à Washington. L’Azerbaïdjan a été représenté par la délégation composée des représentants du Centre d’Etudes Stratégiques auprès du Président de la République d’Azerbaïdjan, du Ministère des affaires étrangères et de l’Académie Diplomatique.
Lors de ce symposium organisé à l’Institut d’analyse et de règlement des conflits de l’Université George Mason, le conflit arméno- azerbaïdjanais du Haut Karabagh et les possibilités de son règlement ont été discutés et Susan Allen Nan, Université George Mason, a souligné l’importance du rôle de la société civile au processus de paix.
En appelant les parties du conflit à oublier le passé et à regarder vers l’avenir, Thomas de Vaal, analyste de la Fondation Carnegie pour la paix internationale, a souligné que ce conflit doit être réglé pacifiquement.
Gülchen Pachayeva, vice- directrice du Centre d’études stratégiques auprès du Président azerbaïdjanais a noté : « Le fait est que les Azerbaïdjanais du Haut Karabagh ont été éloignés du processus de paix et vivent loin de leur maison dans des conditions difficiles.»
Arzu Qeybullayeva, représentante du Centre de transformation des conflits a souligné que les réseaux sociaux jouent une zone de tampon entre les jeunes azerbaïdjanais et arméniens et la possibilité de faire un dialogue entre les parties dans l’espace virtuel contribue au processus de paix.