Un nouveau livre fait l’éloge de l’expérience pionnière et du projet civilisationnel de l’ICESCO pour investir dans le capital humain
Bakou, 2 avril, AZERTAC
Un livre publié récemment au Royaume du Maroc fait l’éloge de la vision prospective créative et des nouvelles orientations stratégiques de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), ainsi que de l’expérience pionnière de la Direction actuelle de l’Organisation dans la transformation de l’investissement dans le capital humain de la théorie à la pratique, à travers des projets, initiatives et programmes plaçant l’ICESCO à la pointe des organisations internationales investissant dans l’avenir et le soft power. Le livre considère que le monde islamique a grandement besoin aujourd’hui de tirer parti des vastes expériences de l’Organisation, dans une époque où prime l’attention portée à l’investissement dans l’être humain en tant que capital inépuisable, selon le site web de l’ICESCO.
Dans son nouveau livre intitulé « Investir dans l’être humain : De la théorie à la pratique… L’ICESCO comme exemple », Pr. Abdelkader El Idrissi a souligné qu’il était inspiré par les slogans affichés sur les portes des ascenseurs et sur les murs, lors de sa visite au siège de l’Organisation à Rabat après une absence de plus de trois ans. Parmi ces slogans figurent « Investissons dans le capital humain », « Travaillons à édifier l’avenir » et « Réalisons un succès durable », ce qui l’a amené à se concentrer sur le concept d’investissement dans le capital humain avec toutes ses implications et concepts. Cela a été le point de départ de cette étude, qui se veut être un témoignage du développement atteint par l’ICESCO.
L’auteur, qui a publié jusqu’à présent cinq livres sur l’ICESCO, a affirmé que l’investissement dans le capital humain a des répercussions sur le développement des sociétés, le progrès des nations et l’épanouissement de la vie humaine. De même, il a indiqué que l’investissement dans le capital humain est essentiellement un investissement dans l’avenir, ce qui est en accord avec les stratégies de l’Organisation visant à contribuer au développement de ses États membres. L’auteur s’est félicité de la vision de Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO, et a mis en valeur les niveaux de développement, de renouvellement et de modernisation que l’Organisation a connus depuis qu’il a assumé son mandat en 2019.
L’auteur a consacré un chapitre distinct à chaque secteur de l’ICESCO, le premier chapitre est intitulé « Investir dans l’éducation », le deuxième « Investir dans les sciences, la technologie et l’innovation », le troisième « Investir dans les sciences sociales et humaines », et le quatrième « Investir dans la culture et la communication ». Deux chapitres supplémentaires ont été ajoutés, à savoir « Investir dans la jeunesse et l’enfance », et « Investir dans l’avenir ». Ces six chapitres sont accompagnés d’un préambule qui présente les implications linguistiques, économiques et sociales du concept d’investissement, tant sur le plan théorique que pratique.
Les chapitres du livre soulignent que l’ICESCO accorde une importance majeure à l’investissement pratique dans le capital humain, en mobilisant son expertise dans tous ses domaines de compétence et en la concrétisant dans la planification de programmes, de projets et d’initiatives novateurs, productifs et prospectifs visant à renforcer le capital humain. Le but est de contribuer au développement du monde islamique en relevant les défis, en participant à la reconstruction civilisationnelle, en façonnant l’avenir et en accédant à des domaines vitaux.
À l’issue de l’étude, l’auteur a conclu que l’investissement mené par l’ICESCO dans tous ses domaines de compétence est un devoir, un droit, un principe, un mode de vie et une responsabilité que l’Organisation ressent dans toute sa grandeur et son élévation. À cet effet, il a expliqué que tous les cinquante-quatre États membres bénéficient de leur part des ressources rentables, des avantages scientifiques et des effets fonctionnels de ce projet civilisationnel unique, géré et mis en œuvre par l’ICESCO.
Dans la partie des annexes, Pr. El Idrissi a ajouté que ce projet civilisationnel, visant à promouvoir le développement durable intégré dans le monde islamique, est dirigé par un homme visionnaire et sage, doté d’une forte détermination et d’une vaste connaissance en matière de renaissance et d’établissement des bases du progrès dans les domaines de l’éducation, de l’enseignement, des sciences, de la technologie, de l’innovation, de la culture, de la communication, des sciences humaines et sociales, de la jeunesse et de l’enfance. Il a qualifié Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l’ICESCO depuis le 9 mai 2019, d’homme qui travaille avec sérieux et un profond sens des responsabilités, et dirige une équipe qui s’acquitte de ses missions au service des objectifs de l’ICESCO. Et de préciser qu’avec ses collaborateurs et les dirigeants de l’Organisation, Dr AlMalik a réalisé une avancée qualitative dans l’ICESCO, la propulsant parmi les organisations réussies à la fois sur les plans régional et international.
