MEMOIRE SANGLANTE
Le Congrès des Azerbaïdjanais de l’Europe a adressé une déclaration au Parlement européen
Bakou, 22 février (AZERTAC). Le Congrès des Azerbaïdjanais de l’Europe (CAE) a adressé une déclaration sur la «reconnaissance du génocide commis en 1992 contre les habitants de la ville de Khodjaly comme un crime et le règlement pacifique du conflit du Haut-Karabagh» à M. Elmar Brook, président de la Commission de la politique étrangère, et Mme Elizabeth Jeggle, membre de la Commission des droits de l’homme du Parlement européen. En même temps, le CAE a demandé dans son message adressé à près de 300 membres du Parlement européen de se prononcer sur le règlement du conflit du Haut-Karabagh conformément aux normes du droit international, de qualifier l’acte génocidaire que les Arméniens avaient perpétré contre les habitants de Khodjaly le 26 février 1992 comme un crime commis pendant la guerre. Le CAE a demandé l’étude du génocide de Khodjaly par la commission des experts internationaux, aux chefs des pays membres du Groupe de Minsk de l’OSCE de faires des efforts pour le règlement du conflit et le rétablissement de la paix. De plus, il est noté dans le message que la paix est le seul moyen qui donnera un élan de la cohabitation et au développement des peuples ayant une géographie commune et un patrimoine culturel séculaire dans le Caucase du Sud.
A la fin du message, en s’appuyant sur les décisions et les résolutions adoptées jusqu’à ce jour-là relatives au règlement du conflit et afin d’aider à régler le conflit du Haut-Karabagh par des moyens pacifiques, le CAE a exprimé son espoir que la déclaration serait attentivement adoptée et des efforts seraient déployés par le Parlement européen en ce sens.