Bakou, 3 février (AZERTAC). On paie toujours une attention particulière à la garantie des Droits de l’Homme en Azerbaïdjan. Certains pays ou les représentants des organisations internationales l’ignorent et manifestent une position injuste contre l’Azerbaïdjan. Il serait bien que les organisations internationales qui s’occupent de la situation en Azerbaïdjan ne ferment pas leurs yeux sur l’existence des prisonniers politiques dans les autres pays voisins.

Selon l’AZERTAC, Samad Seyidov, chef de la délégation azerbaïdjanaise à l’APCE, président du Comité des relations internationales et des relations intergouvernementales du Milli Médjlis a prononcé ces paroles.

Selon le président du Comité, malgré l’existence dans les pays voisins des députés et des journalistes prisonniers, mentionner le nom de l’Azerbaïdjan parmi 47 pays membres est non - objectif. Ce n’est qu’une forme de pression contre l’Azerbaïdjan. Mais on n’y parviendra pas.