ECONOMIE
L’Azerbaïdjan et la FAO discutent des projets effectués conjointement
Bakou, 13 novembre, AZERTAC
Le ministre azerbaïdjanais de l’Agriculture, Medjnoun Mammadov, s’est entretenu avec une délégation conduite par Qu Dongyu, Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), en visite en Azerbaïdjan afin de participer à la COP29.
Lors de l’entretien, l’accent a été mis sur l’importance des projets effectués dans le cadre de la coopération avec la FAO.
Le ministre Mammadov a évoqué l’importance de l’organisation de la COP29 en Azerbaïdjan, abordant les mesures mises en œuvre pour réduire l’impact du changement climatique sur le secteur agricole.
Il a été souligné que le gouvernement azerbaïdjanais coopérait étroitement avec les organisations internationales pour atteindre les objectifs de développement durable. La FAO est l’un des partenaires internationaux les plus importants de l’Azerbaïdjan. L’Azerbaïdjan attache une grande importance à la coopération avec la FAO dans le domaine agricole et est intéressé par la poursuite de cette coopération.
Qu Dongyu a exprimé sa satisfaction de l’établissement des liens de haut niveau entre l’Azerbaïdjan et la FAO.
Il a dit que des événements tels que la COP29 contribueraient considérablement à la détermination des priorités pour le développement du secteur agricole.
Qu Dongyu a souligné que les projets visant au développement durable du secteur agricole et à la formation d’une base de spécialistes efficaces et professionnels continueront à être soutenus.
Les parties ont évoqué la poursuite de la coopération dans le cadre du Programme de partenariat stratégique FAO-Azerbaïdjan.
Un échange de vues a eu lieu sur d’autres questions d’intérêt mutuel.
Une déclaration d'intention a été signée en matière de renforcement de la coopération dans le cadre de l'initiative climatique Bakou Harmoniya pour les agriculteurs, incluse dans l’initiative FAST, un programme multipartite qui vise non seulement à renforcer le financement de la transformation de l'agriculture, mais aussi à contribuer aux efforts d'adaptation et à respecter la limite de 1,5 °C fixée par l'Accord de Paris, tout en soutenant la sécurité économique et alimentaire.