POLITIQUE
Les perspectives des relations azerbaïdjano – turques sont en cours de discussion
Bakou, 15 mars (AZERTAC). Une conférence intitulée « Les perspectives des relations azerbaïdjano - turques » a entamé son travail le 15 mars au Centre des Recherches Stratégiques auprès du Président de la république d’Azerbaïdjan(CRS).
Selon AZERTAC, les membres du groupes d’amitié interparlementaire Turquie - Azerbaïdjan, les députés du Milli Médjlis, les scientifiques, les spécialistes et les représentants de média ont participent à ce conférence.
Gülchen Pachayeva, vice-directrice du CRS, a abordé le développement des relations entre les deux p ays. Elle a souligné que la Turquie avait reconnu premièrement l’indépendance de l’Azerbaïdjan et ceci est une parfaite illustration de la fraternité entre les deux pays.
Soulignant que l’Azerbaïdjan est intéressé par le développement des relations avec le pays frère, la vice - directrice du CRS a dit que la Turquie est le meilleur partenaire stratégique de notre pays.
G. Pachayeva a noté que l’abolition de la loi pénalisant la négation du soi disant « génocide arménien » est le résultat des efforts communs de deux pays.
Notant que l’Azerbaïdjan et la Turquie partage la même douleur, G. Pachayeva a accentué que la marche à l’occasion du 20e anniversaire du génocide de Khodjaly sur la place de Taksim à Istanbul, en est une parfaite illustration.
Abordant les relations azerbaïdjano - turques, Ahmed Cavad, vice -recteur de l’Université d’Istanbul, a parlé du règlement du conflit arméno - azerbaïdjanais du Haut Karabagh et noté que ce n’est pas seulement le problème les deux pays frères, mais aussi celui du monde turc.
Rabiyyat Aslanova, présidente de la commission des droits de l’homme du Milli Médjlis a insisté qu’après le rétablissement de l’indépendance de l’Azerbaïdjan, une nouvelle étape a commencé dans le développement des relations entre les deux pays.
Notant l’importance de la coopération entre les sociétés civiles de deux pays, Qanira Pachayeva, députée et membre du groupe d’amitié interparlementaire, a accentué que l’un des problèmes communs qui nous inquiètent beaucoup est les revendications non fondées sur le soi disant « génocide arménien ». Les Arméniens ont transformé les revendications génocidaires en identité nationale. C’est le problème pas seulement la Turquie, mais aussi le problème commun de l’Azerbaïdjan et de tous les pays turcophones.
D’autres orateurs ont également parlé des perspectives du développement des relations azerbaïdjano - turques et mené un échange de vues sur l’état actuel des relations.