CULTURE
Des étudiants français informés de la diplomatie culturelle de l’Azerbaïdjan
Paris, 11 décembre, AZERTAC
Le musée du quai Branly à Paris a abrité un colloque intitulé « Droit et patrimoine culturel » à destination des étudiants diplômés.
Lors de la table ronde sur la « Diplomatie culturelle » tenue dans le cadre du colloque, Nigar Huseynova, conseillère de l'ambassade d'Azerbaïdjan en France, a parlé de l'histoire, du patrimoine culturel de son pays, du rôle exceptionnel de la diplomatie culturelle dans la sauvegarde du patrimoine. Elle a informé les étudiants français des projets menés par l'ambassade à Paris en matière de promotion de la culture azerbaïdjanaise et a évoqué la contribution de la diplomatie culturelle à la promotion du pays, ainsi qu'au dialogue et au rapprochement entre les peuples. « L'Azerbaïdjan, situé au carrefour de différentes civilisations, est un lieu sacré où différentes cultures coexistent et se croisent. Les représentants de toutes les religions et groupes ethniques vivent en harmonie en Azerbaïdjan », a précisé Nigar Huseynova.
Il a été indiqué lors de la table ronde que l'initiative du « Processus de Bakou » avait été lancée par le président Ilham Aliyev afin d'établir la paix et le dialogue entre les cultures dans le monde, et qu’il était devenu une plateforme mondiale pour le renforcement et la promotion du dialogue interculturel et interreligieux dans le monde.
Les contributions de l'Azerbaïdjan au dialogue interreligieux et interculturel ont également été ébordées. Les projets mis en œuvre par la Fondation Heydar Aliyev en France, en Italie et au Vatican dans le domaine de la restauration des monuments culturels appartenant à diverses religions aux niveaux national et international ont fait l’objet de discussions lors de la table ronde.
Il a été souligné que l’Azerbaïdjan avait réussi à obtenir des résultats historiques dans les négociations sur le climat malgré une campagne de diffamation et de calomnies à grande échelle. Guidé par le slogan « Solidarité en faveur d’un monde vert », l'Azerbaïdjan a créé toutes les conditions nécessaires pour faciliter les négociations de manière impartiale. Dans le même temps, le pays a fait preuve de solidarité avec les peuples et les régions confrontés à des défis environnementaux. L’Azerbaïdjan n’a pas épargné ses efforts pour créer des ponts entre les pays développés et les pays en développement, ce qui a conduit à ce que le monde assiste à une « percée historique de Bakou ». Lors de la COP29, le Fonds pour les pertes et dommages, ainsi que l’article 6 tant attendu sur le marché du carbone ont été entièrement opérationnalisés. La COP29 a vu l’adoption d'un Nouvel objectif collectif quantifié (NCQG), établissant un nouveau but mondial visant à fournir 300 milliards de dollars aux pays en développement d'ici 2035. Cet accord aidera les nations en développement à faire face aux effets néfastes du changement climatique.